"La rue est à ce point familière qu'on n'y prête plus guère attention. Mais à quoi ressemblait-elle hier ? Avant l'automobile ? Avant l'électricité ? Avant les gratte-ciel ? Et aujourd'hui, comment le street-art s'inscrit-il dans le paysage urbain ?
Dès l'Antiquité, les rues découpent l'espace en lignes droites, trottoirs et portiques apparaissent, l'eau circule sous les voies. Puis commence le long Moyen Âge de la rue. C'est l'époque du clair-obscur, de la boue et du feu, des charrettes, des cris : la rue devient un théâtre. C'est aussi le lieu des processions royales, des exécutions, des châtiments publics et des carnavals. Côté sombre, c'est la prostitution, la mendicité, les crimes. Ensuite, surgit le temps des transformations : les percées, les alignements et les destructions, l'éclairage, la numérotation des maisons, l'invention de la poubelle. Dans la rue depuis toujours prompte à se soulever, on passe de la révolte à la manif', quand s'élèvent les barricades, tandis que se succèdent les événements, des plus tragiques telles « les matines sanglantes » de la Saint-Barthélemy, aux plus glorieux comme les bals de la Libération de Paris.La révolution automobile et l'urbanisme sur dalle, la rue piétonne, la rue des exclus, la rue franchisée sont autant de bouleversements dont nous sommes les témoins. Catherine Saliou, Claude Gauvard, Joël Cornette, Emmanuel Fureix et Danielle Tartakowsky nous offrent une histoire inédite de la rue politique, culturelle, artistique et sociale. Éclairé par une centaine de photographies, de cartes et de plans, ce livre invite chacun et chacune à s'approprier ce lieu de mémoire et de vie. "
Les « lointains » ordonnent l'espace, dessinent un « au-delà », suggérant le connu et l'inconnu, l'accessible, l'inaccessible. Les questions s'y multiplient : attirance ou crainte, intérêt ou désintérêt, mais aussi interrogation sur l'ailleurs, ses profils, ses surprises, ses mystères, mobilisant l'imaginaire comme le savoir. Mille curiosités s'engendrent. Mille certitudes se disent : les lieux, les êtres, les formes, les situations, la manière de les penser, celle de les considérer une fois rencontrés. L'univers s'amplifie ainsi avec le temps, révise ses limites, invente des lieux, déplace ses ténèbres, crée du conflit, jusqu'à se jouer des distances et de leurs objets, au point d'explorer, au-delà des terres, les gouffres des mers ou l'infini du ciel, au point, plus encore, de découvrir, a contrario, d'incomparables abîmes au sein même de la proximité. Microscopes et lunettes astronomiques en sont les symboles en miroir. Éloignement et rapprochement s'inversent. Comme s'inverse aujourd'hui l'image d'un Occident, longtemps inventeur de lointains, longtemps pourvoyeur de migrants, devenu, après nombre de mutations culturelles, un lieu où se rêvent des arrivées enchantées. Le défi devient alors majeur où les lointains s'inversent, viennent frapper aux portes des anciens dominants, où les terres « éloignées », dégradées par les activités humaines, viennent menacer ceux qui prétendaient les maîtriser.
L'histoire des lointains proposée ici ambitionne ainsi de revisiter l'histoire elle-même, jusqu'à en faire un projet « total ». Loin de se limiter à celle des découvertes, elle montre comment, en déclinant les rêves d'ailleurs, elle décline aussi, à sa manière, une histoire de l'humanité.
Qu'est-ce qu'un événement ? La question est tout sauf théorique, puisqu'elle affecte le cours même de nos existences. Il est des moments où l'on ressent intimement le pli cassant du temps, qui sépare nettement un avant d'un après. Mais parfois c'est plus incertain. Le passé semble s'attarder, et l'on attendra de la mémoire qu'elle façonne, après coup, le sens de ce qui a eu lieu.
Inspiré de l'émission « Quand l'histoire fait dates », diffusée sur Arte, ce livre propose d'explorer cette question à partir de trente dates qui, de la grotte de Lascaux à la libération de Nelson Mandela, des grandes batailles de l'Asie centrale à la conquête du pôle Sud, traversent toutes les époques et parcourent le monde. Chaque événement, qu'il soit célèbre ou plus inattendu, apparaît toujours comme la porte d'entrée d'une histoire qui se veut accueillante aux imaginaires, aux mémoires et aux émotions.
En composant à travers ces récits dix manières de créer l'événement, Patrick Boucheron laisse ainsi entendre les accords secrets qui résonnent à travers les frises chronologiques de notre enfance et rend à l'histoire sa force d'entraînement, la ramenant à ce qu'elle peut être dès lors qu'elle s'adresse à nos vies : l'art de se ménager des surprises.
Professeur au Collège de France, Patrick Boucheron a notamment publié aux éditions du Seuil Conjurer la peur (2013), La Trace et l'Aura (2019) et dirigé l'Histoire mondiale de la France (2017).
Comment a-t-il été possible de construire la Sécurité sociale en 1946 dans un pays où la population dépendait de tickets de rationnement pour se nourrir alors qu'aujourd'hui nous ne serions pas capables de l'étendre dans un pays qui a rarement été aussi riche ? Ce livre propose une histoire des transformations de la protection santé en France de 1789 à nos jours, à travers le prisme des conflits qui l'ont façonnée. Au cours de la Révolution de 1789, alors que les débats sur la place de l'État et du capital dans la protection santé se déroulent dans des termes très contemporains, l'État refuse de procéder à des réformes d'envergure. Les mutuelles naissent alors comme forme d'auto-organisation malgré les interdits et la répression. Par crainte de leurs velléités révolutionnaires, l'État se réapproprie l'esprit des mutuelles par une série de loi à partir de 1852. C'est avec la Première Guerre mondiale que naît véritablement l'État social : la conduite et les conséquences de cette « guerre totale » renforcent le rôle de l'État dans la société, et son besoin de prendre soin comme de contrôler la population. L'État social en France n'est pas le produit de la bienveillance parlementaire mais celui de la guerre. Après 1945, deux logiques en germe depuis un siècle s'affrontent directement : d'un côté, des militants cégétistes issus de la Résistance mettent en place en quelques mois un système de sécurité sociale autogéré par les intéressés, dans la tradition de la « Sociale » initiée par la Commune de Paris ; de l'autre, dès 1946, l'État cherche à mettre la main sur la « Sécu » contre le pouvoir populaire. Bientôt, il va modifier les principes de l'institution - de « chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins » à « chacun paye selon ses moyens et reçoit selon son niveau de risque ». Au gré des réformes, l'État social renforce un capitalisme politique où la proximité entre élites politiques et économiques impose des politiques souvent en contradiction avec les aspirations populaires. Si les dépenses de santé ne baissent pas, elles sont de plus en plus contraintes (nouvelle gestion publique) et changent de nature. Au nom de la lutte contre les déficits - c'est l'invention du « trou de la Sécu »-, la politique de ciblage des dépenses vers les plus pauvres et les plus malades ouvre un espace pour l'épanouissement des alliés politiques de l'État (médecine libérale, complémentaires santé) et pour le capital (cliniques, industrie pharmaceutique). La pandémie a mis en lumière toute l'absurdité de ces évolutions et l'impérieuse nécessité reprendre le pouvoir sur la sécurité sociale.
Thomas Halliday a tout juste trente ans lorsqu'il décide de se lancer dans un projet extraordinaire : remonter le temps grâce à l'écriture. Paléontologue de formation et poète, il nous invite à explorer les origines de la Terre à travers un voyage fabuleux. Bien loin de Jurassic Park ou des dessins animés de notre enfance - les Diplodocus n'ont jamais croisé de Tyrannosaurus -, Les mondes d'hier est une plongée hyperréaliste dans ces époques que nous avons toujours rêvé de découvrir, une épopée où fourmillent de merveilleuses histoires et une nature foisonnante.
De l'immense steppe de l'Alaska glaciaire aux colonies de manchots géants des forêts tropicales de l'Antarctique pendant l'Éocène, une faune et une flore exceptionnelles se révèlent au fil des chapitres. Nous visitons le berceau de l'humanité, nous écoutons le fracas de la plus haute chute d'eau que la Terre ait jamais connue, et nous regardons la vie émerger à nouveau après l'impact d'un gigantesque astéroïde : ces mondes perdus paraissent imaginaires et pourtant chaque description - que ce soit la couleur de la coquille d'un « crabe fer à cheval », le rythme des ptérosaures en vol ou l'odeur persistante de soufre dans l'air -, chaque détail est minutieusement rapporté à la lumière des connaissances scientifiques les plus récentes.
Les mondes d'hier est une exploration inédite, un récit émouvant qui nous rappelle la ténacité de la vie sur Terre mais aussi la grande fragilité d'écosystèmes comme le nôtre. Le lire, c'est voir les 500 derniers millions d'années « non comme une étendue infinie de temps insondable, mais plutôt comme une série de mondes différents, à la fois fabuleux et familiers », un périple que seule la littérature pouvait nous conter.
Pendant la traversée des années noires, la Résistance n'est pas une, mais multiple. L'agent de renseignement qui espionne une base sous-marine, la femme à bicyclette qui assure les liaisons, le saboteur qui fait sauter une usine, le combattant qui jette une grenade sur un convoi, le maquisard qui attaque une unité de la Wehrmacht, le radio parachuté, le cheminot qui relève les horaires des trains ont tous été résistants. Ils n'ont pas fait la même résistance. Ils ont fait l'histoire de la Résistance. Ce livre propose par un récit vivant de raconter, dans sa diversité, l'armée des ombres, fantassins et chefs mêlés, à travers les destins croisés d'une trentaine de femmes et d'hommes, célèbres ou méconnus, aux profils très différents : Emmanuel d'Astier de la Vigerie, Lucie et Raymond Aubrac, Pierre Brossolette, Jeanne Bohec, Henri Frenay, Georges Guingouin, Denise Jacob, Jean Moulin, Serge Ravanel, Marcel Rayman, Henri Rol-Tanguy parmi beaucoup d'autres.
Par l'auteur et réalisateur du documentaire Résistances (Une coproduction ARTE France & Kuiv-Michel Rotman, diffusion ARTE).
Au cours d'une conversation très libre, Alessandro Pignocchi, auteur de BD écologiste, invite Philippe Descola, professeur au Collège de France, à refaire le monde.
Si l'on veut enrayer la catastrophe écologique en cours, il va falloir, nous dit-on, changer de fond en comble nos relations à la nature, aux milieux de vie ou encore aux vivants non-humains. Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Dans quels projets de société cette nécessaire transformation peut-elle s'inscrire ? Et quels sont les leviers d'action pour la faire advenir ?
En puisant son inspiration dans les données anthropologiques, les luttes territoriales et les combats autochtones, ce livre esquisse la perspective d'une société hybride qui verrait s'articuler des structures étatiques et des territoires autonomes dans un foisonnement hétérogène de modes d'organisation sociale, de manières d'habiter et de cohabiter.
Des planches de BD, en contrepoint de ce dialogue vif, nous tendent un miroir drôlissime de notre société malade en convoquant un anthropologue jivaro, des mésanges punks ou des hommes politiques nomades et anthropophages en quête de métamorphoses.
L'humanité a déployé assez d'intelligence pour mettre au point des machines qui explorent Mars, mais pas pour comprendre pourquoi et comment un bouchon mal vissé peut devenir un sujet de discorde. Explorant la dispute sous toutes ses coutures, ce livre résolument optimiste peut se résumer ainsi:«aucune souffrance n'est indispensable, aucune souffrance n'est gratuite».Une magistrale remise en perspective de nos errements, de nos insuffisances et de nos idéaux.
Derrière les façades de luxueux immeubles parisiens, les immenses grilles de châteaux, les baies vitrées de vastes villas de la Côte d'Azur, se cache un personnel invisible mais présent quotidiennement au service des grandes fortunes. Gouvernantes, majordomes, femmes de chambre et de ménage, lingères, nannies, cuisiniers ou chauffeurs travaillent du matin au soir, et souvent la nuit, pour satisfaire les besoins et désirs des millionnaires qui les emploient à leur domicile.
En s'appuyant sur une enquête immersive de plusieurs années, ce livre lève le voile sur les relations quotidiennes entre ceux qui servent et ceux qui sont servis. Ce faisant, il éclaire les ressorts d'une cohabitation socialement improbable, faite de domination et de résistances. Elle-même prise dans ces relations, en travaillant un temps comme domestique, Alizée Delpierre montre comment une certaine « exploitation dorée » peut faire rêver des femmes et des hommes qui y voient une réelle opportunité d'ascension sociale. Du côté des grandes fortunes, déléguer toutes les tâches ingrates demeure essentiel pour consolider leur pouvoir et jouir à plein de leur capital. Elles sont prêtes à tout pour fidéliser leurs domestiques et conserver ce privilège de classe, pour le meilleur comme pour le pire.
Loin d'être le remède miracle aux crises auxquelles nous faisons face, la croissance économique en est la cause première. Derrière ce phénomène mystérieux qui déchaine les passions, il y a tout un système économique qu'il est urgent de transformer.
Dans cet essai d'économie accessible à tous, Timothée Parrique vient déconstruire l'une des plus grandes mythologies contemporaines : la poursuite de la croissance. Nous n'avons pas besoin de produire plus pour atténuer le changement climatique, éradiquer la pauvreté, réduire les inégalités, créer de l'emploi, financer les services publics, ou améliorer notre qualité de vie. Au contraire, cette obsession moderne pour l'accumulation est un frein au progrès social et un accélérateur de l'effondrement écologique.
Entre produire plus, et polluer moins, il va falloir choisir. Choix facile car une économie peut tout à fait prospérer sans croissance, à condition de repenser complètement son organisation.
C'est le projet de ce livre. Explorer le chemin de transition vers une économie de la post-croissance.
Pourquoi les rivières dessinent-elles des méandres? D'où viennent les lignes lumineuses au fond des piscines? Combien de temps faut-il pour façonner un galet? À quoi tient l'efficacité d'un peloton cycliste? Pourquoi la mer mousse-t-elle?Nous vivons au rythme de spectacles éphémères. Certains sont brefs, comme les rides à la surface de l'eau, le vacillement d'une flamme ou ces points lumineux qui scintillent sur l'océan. D'autres sont plus longs, comme le bourgeonnement d'un cumulus avant l'orage, le patient polissage d'un galet ou le dessin changeant des méandres d'une rivière. D'autres encore se déroulent sur des temps qui échappent à nos sens, à l'instar du soulèvement d'une montagne, de la formation d'une mer ou d'un désert.Tous ces phénomènes ont en commun une science subtile et merveilleuse:la physique des fluides, qui sculpte et anime la matière. En une trentaine de sujets magnifiquement illustrés, les auteurs révèlent les fils invisibles qui régissent ce ballet ininterrompu. Chemin faisant, ils montrent aussi que la beauté du monde doit beaucoup à son impermanence.
Les hommes sont plus riches que les femmes. Dès l'enfance, les garçons reçoivent plus d'argent de poche que les filles. Adultes, à poste égal, les femmes sont moins bien payées que les hommes. Et le couple accentue encore les inégalités : au cours de la vie à deux, l'écart ne cesse de se creuser, sans que ni l'une ni l'autre ne s'en rende compte. Ou bien préfère l'ignorer. Chaque fois, il y a des explications et une combinaison de «bonnes raisons» mais le tableau général est accablant. J'écris depuis des années sur les violences sexuelles, le travail domestique, l'invisibilisation des femmes.
Il était temps que je m'intéresse à ce qui est souvent plus tabou que la vie sexuelle : l'argent. » Avec un talent rare pour la pédagogie, Titiou Lecoq décortique les statistiques les plus récentes. Elle convoque l'historienne Michelle Perrot, des économistes, une conseillère en gestion de patrimoine, des banquières, sa mère et même des arnaqueuses. Son ton mordant fait le reste. On tourne les pages avec étonnement et parfois colère. Mais Titiou Lecoq propose aussi des solutions simples qui peuvent tout changer.
On la dit laide, revêche, frigide, avare, aigrie, ennuyeuse et ennuyée. On l'imagine avec ses chats, ses pelotes de laine et sa solitude. Parce qu'elle n'a pas eu la chance de trouver un mari ou de faire des enfants, la vieille fille représente un échec. Elle est celle qui n'a pas joué ou qui a perdu au jeu de l'amour. Elle est ce que l'on ne souhaite pas aux jeunes filles de devenir, une image épouvantail.
Pourtant, la vieille fille a-t-elle vraiment un destin aussi peu enviable?? Lui a-t-on d'ailleurs demandé son avis?? Et si la vieille fille ne racontait finalement pas tant sa propre condition qu'elle ne tendait un miroir à celles qui ont eu la chance de ne pas connaître ce sort honteux?? Si elle était plutôt celle qui échappe aux carcans, à la surveillance, aux loyautés et aux alliances impossibles à défaire, à l'espace et au temps constamment partagés??
Journaliste, Marie Kock est aussi ce qu'on appelle une « vieille fille ». Mêlant récit personnel, pop culture et études sociologiques, Vieille fille formule une hypothèse : qu'il est possible d'inventer d'autres manières de vivre, pour soi et avec les autres, de trouver l'amour ailleurs, autrement. D'avoir, simplement, envie d'autre chose.
Les huiles essentielles font partie de l'arsenal « bien-être et santé » d'un foyer qui mise sur le simple et le naturel pour rester en forme. Étudiant, départ en vacances, petit bout de chou à la maison, femme enceinte, adulte surmené, senior avisé... certaines huiles essentielles sont vraiment irremplaçables.
DANS CE GUIDE ILLUSTRÉ :
63 questions-réponses sur les huiles essentielles, l'aromathérapie, la prévention, la santé de la famille : pourquoi utiliser les huiles essentielles ? Y a-t-il des précautions à prendre ?...
Lavande officinale, camomille romaine, ravintsara, citron, basilic exotique... Les 52 huiles essentielles majeures de la pharmacie familiale, leurs propriétés et leurs indications. Les 19 meilleures huiles végétales + les 14 hydrolats les plus courants.
Abécédaires santé du bébé, de l'enfant, de l'ado, de l'adulte, de la femme enceinte ou allaitante, du senior, du sportif : de Abcès à Zona, plus de 450 pathologies classées par âge et leurs solutions aroma.
12 trousses aroma SOS : petits et grands soucis physiques, psy, émotionnels, et même chien et chat... À chacun ses « essentiels ».
Le guide de référence pour soigner la famille en toute sécurité grâce à l'aromathérapie
Ce livre est une invitation à prendre soin de soi en pleine conscience grâce à la magie des rituels et des pratiques spirituelles.
Dans cet ouvrage, vous découvrirez :
- comment intégrer les rituels à votre vie pour développer votre intuition et prendre du temps pour vous - créer des espaces sacrés pour revenir à votre corps et renouer avec votre spiritualité, votre cycle menstruel et votre nature profonde - plus de 80 rituels adaptés à vos besoins, à vos aspirations et à chaque étape de votre vie, sur des thématiques variées (astrologie, grossesse et maternité, féminin sacré, connexion à la nature, grands changements de vie...) - 15 rituels transmis par des femmes aux parcours de vie inspirants.
« Celui qui désire une vie sans maladies sera bien avisé de ne pas prendre le remède prescrit par un médecin qui n'en connaît pas l'emploi. » L'ayurveda contemporain se réclame d'une origine ancestrale. Nombre de textes sanskrits anciens nous sont en effet parvenus mais que disent-ils au juste ? Cet ouvrage propose la première anthologie en langue française de textes classiques, introduits et commentés, pour découvrir cette médecine indienne traditionnelle et savante.
Les extraits, sélectionnés par Michel Angot au sein des grands traités ayurvédiques (Caraka-samhita, Susruta-samhita, Ashtanga-hridaya-samhita, etc.), fournissent des réponses à des questions comme : Qu'est-ce que la santé, qu'est-ce que la maladie ? Qui soigner, qui ne pas soigner ? Avec quoi soigner et dans quel but ?