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Court Circuit Distribution
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La mort-marraine
Anne Quesemand, Laurent Berman, Emmanuel Le Roy Ladurie
- L'Attrape-Science
- 7 Février 2012
- 9782918134053
Quand la Mort adopte un enfant, quelle idée a-t-elle derrière le crâne ? Un superbe conte qui prend racine dans la nuit des temps, adapté et réécrit avec humour par Anne Quesemand, illustré avec la finesse d'un graveur par Laurent Berman, propose une solution telle que l'histoire finit par une chanson.
D'abord spectacle (toujours existant) de la compagnie du Théâtre à Bretelles, le livre édité par Nicole Maymat chez Ipomée-Albin Michel, a obtenu le Prix Sorcières et le prix de la Ville de Troyes en 1988. Il fait aujourd'hui l'objet de cette réédition que beaucoup réclamaient.
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Je ne sais pas vous, mais moi, je n'arrive pas à mener la vie trépidante que je voudrais.
Un jour de grand découragement, je décidai de m'offrir un objectif a priori à ma portée : j'allai m'ennuyer, au moins, je l'aurais décidé ! Ne sachant comment m'y prendre, je consultai le dictionnaire afin d'en savoir un peu plus sur " l'ennui ". Un des exemples était : " une lecture qui ennuie ". Excellente idée ! J'allai lire un bouquin ennuyeux... Oui, mais lequel ? Un pavé... pour faire durer le déplaisir, et surtout pas d'histoire (c'est distrayant les histoires...) du didactique, pas d'illustration, de l'information, décousue de préférence, des mots les uns après les autres...
Je feuilletai négligemment mon dico " des mots les uns après les autres "... Bon sang mais c'est bien sûr ! J'allai lire le dictionnaire. De A à Z. Ce serait parfait pour mourir d'ennui. Hélas, je dus accuser un nouvel échec : cette lecture, s'est révélée absolument passionnante. Le secret, c'est de se disposer à une lecture critique. Découvrir que l'outil culturel qu'on soupçonnait le moins est en fait un discours idéologique conditionnant nos pensées et nos modes de vie se révèle au moins aussi jubilatoire que déprimant.
Le dictionnaire, prétendu neutre, s'avère, avec un peu d'attention, violemment sexiste. Comment expliquer que cela passe inaperçu, sinon par le fait que le langage est intrinsèquement idéologique et qu'une des idéologies qu'il véhicule est profondément sexiste... Si dans Le Miso mis à Nu, c'est le " sexisme intériorisé " du langage que j'ai choisi de mettre en lumière, une lecture critique du dictionnaire permet tout aussi bien de démasquer d'autres idéologiques...
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Histoire du rat qui voulait du lait
Anne Quesemand, Laurent Berman
- L'Attrape-Science
- 12 Mars 2009
- 9782918134008
Ces merveilleuses Histoires du rat... que vous allez lire, et regarder, il se trouve que Laurent Berman et Anne Quesemand les ont, d'abord, jouées... Mais toute scène se dissipe, disparaît à jamais... Ils en ont fait un livre. Mais ce n'est pas là un livre d'avant le théâtre, et qui l'aurait généré, non. C'est un livre, au contraire, qui aurait été impossible sans le théâtre. Qui doit la vie au théâtre. Dont le théâtre est l'auteur. Anne Quesemand et Laurent Berman ont opéré là un véritable renversement. Voici, cette fois, que c'est le théâtre qui permet le livre, et que c'est le livre, cette fois, qui se fait accueil, recueil, oui, du théâtre. Alchimistes insolents, ils ont transmuté le théâtre en livre. Ce n'est pas que le théâtre, le théâtre même, soit ici scripté, ou dessiné ; comment cela se pourrait-il, puisqu'il est le présent même ? Non, c'est que le théâtre s'est étiré, s'est prolongé, a donné un fruit : ce livre, qui nous livre une scène. L'ouvrage que vous allez lire, palimpseste, est hanté par le théâtre. Sous ses lignes écrites et ses illustrations magnifiques, regardez, écoutez, se lit et se dessine, blanc sur le blanc de la page mais insistant comme une dette infinie, un théâtre. Comme Rimbaud des sons et des couleurs, Anne Quesemand et Laurent Berman ont établi une correspondance entre le théâtre et le livre. Ils les ont fait se correspondre, et le théâtre a écrit au livre. Et, de lui écrire, il l'a créé. Ainsi, la boucle ne sera jamais bouclée. À toi, lecteur, à présent... de jouer. Daniel Mesguich
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La nuit du chasseur, une esthétique cinématographique
Damien Ziegler
- Bazaar & Co
- Cine Bazaar
- 10 Juin 2008
- 9782917339015
Film maudit en raison de l indifférence critique et l échec financier rencontrés à sa sortie, film culte de par l enthousiasme qu il est capable de susciter aujourd hui, La Nuit du chasseur se voit affubler de qualificatifs généraux qui traduisent la difficulté à cerner sa véritable nature. Réalisé en 1955 par Charles Laughton, acteur britannique alors en fin de carrière, le film réunit passé (Lillian Gish, égérie de David Griffith durant les années dix) et présent (Robert Mitchum, habitué des rôles de mauvais garçon dans les années quarante) pour raconter l histoire singulière d un faux pasteur persécutant deux enfants afin de mettre la main sur un magot. Truffé d images ciselées à la manière d un conte pour enfants, le récit aspire à une certaine intemporalité. Le présent ouvrage se propose d explorer le monde intérieur du film par une analyse chronologique et exhaustive des procédés mis en uvre par Laughton et ses collaborateurs pour convaincre le spectateur.
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Histoire du rat qui voulait tout savoir
Anne Quesemand, Laurent Berman
- L'Attrape-Science
- 12 Mars 2009
- 9782918134022
Planquinquennal a pris de l'âge, il a trouvé l'amour, il est père et grand-père, et doit répondre aux questions de ses enfants et de ceux de Minouche. Il se lance dans une nouvelle aventure : la recherche du savoir.
Ces merveilleuses Histoires du rat... que vous allez lire, et regarder, il se trouve que Laurent Berman et Anne Quesemand les ont, d'abord, jouées... Mais toute scène se dissipe, disparaît à jamais... Ils en ont fait un livre.
Mais ce n'est pas là un livre d'avant le théâtre, et qui l'aurait généré, non. C'est un livre, au contraire, qui aurait été impossible sans le théâtre. Qui doit la vie au théâtre.
Dont le théâtre est l'auteur.
Anne Quesemand et Laurent Berman ont opéré là un véritable renversement. Voici, cette fois, que c'est le théâtre qui permet le livre, et que c'est le livre, cette fois, qui se fait accueil, recueil, oui, du théâtre. Alchimistes insolents, ils ont transmuté le théâtre en livre. Ce n'est pas que le théâtre, le théâtre même, soit ici scripté, ou dessiné ; comment cela se pourrait-il, puisqu'il est le présent même ? Non, c'est que le théâtre s'est étiré, s'est prolongé, a donné un fruit : ce livre, qui nous livre une scène.
L'ouvrage que vous allez lire, palimpseste, est hanté par le théâtre. Sous ses lignes écrites et ses illustrations magnifiques, regardez, écoutez, se lit et se dessine, blanc sur le blanc de la page mais insistant comme une dette infinie, un théâtre.
Comme Rimbaud des sons et des couleurs, Anne Quesemand et Laurent Berman ont établi une correspondance entre le théâtre et le livre. Ils les ont fait se correspondre, et le théâtre a écrit au livre. Et, de lui écrire, il l'a créé.
Ainsi, la boucle ne sera jamais bouclée. À toi, lecteur, à présent... de jouer.
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Histoire du rat qui voulait de l'amour
Anne Quesemand, Laurent Berman
- L'Attrape-Science
- 12 Mars 2009
- 9782918134015
Le rat Planquinquennal est heureux chez No et Mi. Mais, après cinq ans de repos, il a du vague à l'âme. Il a envie de vivre une grande passion. Il veut qu'on l'aime, il veut aimer. Il rêve de l'éternel féminin, dessine la rate de ses rêves, écrit au courrier du coeur, s'habille en Valentino et décide de partir à la recherche de l'amour.
Ces merveilleuses Histoires du rat... que vous allez lire, et regarder, il se trouve que Laurent Berman et Anne Quesemand les ont, d'abord, jouées... Mais toute scène se dissipe, disparaît à jamais... Ils en ont fait un livre.
Mais ce n'est pas là un livre d'avant le théâtre, et qui l'aurait généré, non. C'est un livre, au contraire, qui aurait été impossible sans le théâtre. Qui doit la vie au théâtre.
Dont le théâtre est l'auteur.
Anne Quesemand et Laurent Berman ont opéré là un véritable renversement. Voici, cette fois, que c'est le théâtre qui permet le livre, et que c'est le livre, cette fois, qui se fait accueil, recueil, oui, du théâtre. Alchimistes insolents, ils ont transmuté le théâtre en livre. Ce n'est pas que le théâtre, le théâtre même, soit ici scripté, ou dessiné ; comment cela se pourrait-il, puisqu'il est le présent même ? Non, c'est que le théâtre s'est étiré, s'est prolongé, a donné un fruit : ce livre, qui nous livre une scène.
L'ouvrage que vous allez lire, palimpseste, est hanté par le théâtre. Sous ses lignes écrites et ses illustrations magnifiques, regardez, écoutez, se lit et se dessine, blanc sur le blanc de la page mais insistant comme une dette infinie, un théâtre.
Comme Rimbaud des sons et des couleurs, Anne Quesemand et Laurent Berman ont établi une correspondance entre le théâtre et le livre. Ils les ont fait se correspondre, et le théâtre a écrit au livre. Et, de lui écrire, il l'a créé.
Ainsi, la boucle ne sera jamais bouclée. À toi, lecteur, à présent... de jouer.
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LES TEMPS MAUDITS n.28 : les temps maudits Tome 28 ; "le droit et les traves !"
Collectif
- Confederation Nationale Des Travailleurs
- Les Temps Maudits
- 29 Janvier 2004
- 9782075405744
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John McTiernan ; le maître du cinéma d'action
Claude Monnier
- Bazaar & Co
- Cine Bazaar
- 8 Mai 2010
- 9782917339169
Predator, Piège de cristal, A la poursuite d'Octobre rouge, le Treizième Guerrier...
Autant de titres mythiques qui ont révolutionné le film d'action et influencé le cinéma américain depuis plus de vingt ans. Derrière ses oeuvres puissantes, un homme : John McTiernan. Grand maître de la caméra, au même titre qu'un Spielberg ou un De palma, McTiernan a su imposer un style visuel. Mais caché sous la surface du film d'action brillant et haletant, il y a un véritable auteur, littéralement obsédé par des thèmes qui le poursuivent de film en film : le territoire envahi, le primitivisme, l'invisibilité, le contact entre civilisations ou encore l'onirisme et la mythologie...
Un grand cinéaste à découvrir.
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La recherche archéologique sur la presqu'île de Cnide, en Turquie, n'est pas de tout repos pour l'Américaine Miss Brook. À la recherche de la Vénus de Praxitèle disparue, elle dirige une équipe de jeunes et belles archéologues à qui ne déplaisent pas les amours saphiques de leur patronne. Les villages de la presqu'île sont en ébullition et les rumeurs vont leur train. Sous le signe de la Vénus antique les passions amoureuses croisent les déceptions et les vengeances des autorités locales, capitaine de gendarmerie et sous-préfet en tête.
Dans un pays où de solides traditions font la loi, la modernité ne pénètre pas sans dommages collatéraux. Les nuits sont chaudes, les saveurs culinaires aussi et les personnages ne manquent pas de piment. L'ivrogne du village qui détient le secret de la statue de la déesse, espère pouvoir en tirer profit ; mais le sort en décide autrement.
Le dernier mot restera à la lumière incomparable, au ciel étoilé et aux surprises des flots de la Méditerranée éternelle, pourvoyeuse de nos rêves, de nos mythes et de nos passions.
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« Un coup de feu claque dans la nuit. .Il n'y a pas de superorganisation, aussi secrète soit-elle » Tout se passe entre ces deux phrases, l'une au début de ce récit, l'autre à la fin.
Deux groupes d'activistes, à peine identifiables, se livrent à des duels croisés : rencontres louches, scènes érotiques très hard, entreprises de séduction très soft et sur plusieurs registres, cynisme politique, combat douteux.
Nous ne saurons jamais vraiment s'il s'agit de malfrats désinvoltes, d'infiltrés des services de renseignements dans une bande criminelle ou d'une expertise en communication de très haut niveau.
L'intérêt du récit réside précisément dans l'échange de jeux de rôles où les personnages, trois femmes, cinq hommes, vivent des expériences et des événements propres aux activistes de tout poil. L'auteur est plus intéressé par les mécanismes d'approche, les stratégies relationnelles, la mise au point de situations à piège, que par le résultat de ces mises en scène.
Ce qui se passe à la surface a plus de profondeur que les effets qui en découlent. D'où une écriture très maîtrisée, ironique, une vue d'en haut sur le théâtre des opérations et une grande proximité avec les personnages et les situations. L'originalité de cet ouvrage doit beaucoup à une connaissance de l'analyse des systèmes et des modèles communicationnels de l'entreprise. Ce qui n'empêche pas, bien au contraire, d'y être en prise sur la banalité du quotidien contemporain (hédonisme, consommation, séduction) où s'inscrivent les jeux, licites ou non, imaginés par des personnages qui prétendent vivre dangereusement.
Combat de tous contre tous qui n'a en effet besoin d'aucun secret pour nous convaincre de sa réalité.
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L’odyssée de l’enfance ; enfance et narration au cinéma
Christian Paigneau
- Bazaar & Co
- Cine Bazaar
- 6 Mars 2010
- 9782917339107
Depuis plus d'un siècle l'enfance a largement investi les écrans du monde entier et de nombreux films se sont ancrés dans la mémoire des spectateurs.
Pour autant l'enfance est-elle devenue un territoire cinématographique à part entière ? L'Odyssée de l'enfance se veut autant un ouvrage critique qu'une visite guidée par le biais de la narration de ce cinéma qu'il soit d'ici ou d'ailleurs. En cherchant au travers de chapitres successifs à questionner les thèmes, les codes, le langage, mais aussi à définir ce genre spécifique du film d'enfance. Simple cour de récréation cinématographique faite d'anecdotes qui ricochent et de nostalgie partagée ou émergence d'une mythologie plus complexe sur l'individu et son identité en germe ?
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"Cette chronique dont le succès fut immense en territoire Querp est enfin publiée dans le reste du monde : ce qui représente un inoubliable événement éditorial." Chronique d'un pays appelé le Querp et de ses habitants. Emma Qun'q, très coquette comme toutes les jeunes filles querpéennes, découvre dans la vitrine du magasin Elzévir un collier de quintelaud qui attire immédiatement son attention. A travers l'histoire et les pérégrinations de la jeune fille, une description des moeurs et coutumes de ce pays imaginaire.
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Dans la longue tradition du cinéma d'horreur, Lucio Fulci tient une place bien particulière. Celle d'un esthète de la violence, un poète de la chair maltraité qui, de la fin des années 70 au début des années 80, rendit les amateurs du genre hystériques.
Pour la première fois en France, cet ouvrage se propose de faire le tour de l'oeuvre de ce réalisateur controversé, de ses premiers amours (la comédie), à ses oeuvres phares, en passant par ses westerns et ses thrillers érotiques. Au travers d'analyses de plusieurs films clefs et de papiers sur les grands thèmes qui ont émaillé son travail, Lucio Fulci, le poète du macabre vous invite à poser un regard neuf sur Fulci et son univers.
Ont collaboré à ce volume : Régis Autran, Hugues Deprets, Lionel Grenier, Jean-François Rauger, Xavier Robert, Julien Sévéon, Jean-François Taboni, Mathias Ulrich.
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Propagandes animées ; les dessins animés politiques entre 1933 et 1945
Sébastien Roffat
- Bazaar & Co
- 22 Octobre 2010
- 9782917339176
Quand le dessin animé devient politique le monde en guerre tremble... l'humour et la dérision peuvent être des armes terribles. De l'arrivée au pouvoir de Hitler en 1933 à la défaite du Japon en 1945, des milliers de dessins animés ont été réalisés, projetés en avant-programme dans les cinémas du monde. Près de vingt pays se sont lancés dans l'aventure du film d'animation de propagande. Alors que les combats font rage, par quel tour de force, les gouvernements en guerre ont-ils orchestré la mise en oeuvre de la propagande par le dessin animé ? D'abord sceptiques, les autorités ont par la suite souvent encouragé cette production à teneur politique. À Hollywood, tous les grands studios participent à l'effort de guerre, y compris celui de Disney. Mais, moins connu du grand public, c'est l'incroyable diversité et le nombre jamais atteint de dessins animés de propagande réalisés durant la Seconde Guerre mondiale. Sébastien Roffat interroge la propagande par le dessin animé : des dessins animés pour quoi faire ? Il rappelle en introduction, l'historique de la propagande animée des débuts le premier conflit mondial jusqu'à nos jours et, après avoir présenté les caractères de ce genre, il étudie les conditions d'existence de la propagande par le cinéma d'animation, la nécessité de cette propagande pour les gouvernements en guerre et enfin sur les effets psychologiques et socio-politiques de la propagande par le dessin animé. En conclusion, l'auteur essaie de déterminer la part d'efficacité de cette propagande.
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Reflets dans un oeil mort ; mondo movies et films de cannibales
Maxime Gayraud, Sébastien Lachaud
- Bazaar & Co
- 18 Novembre 2010
- 9782917339206
Reflets dans un oeil mort, Mondo Movies et les films de cannibales.
Maxime Lachaud et Sébastien gayraud. Mondo movies et films de cannibales. Deux genres qui n'en sont qu'un, à mi chemin entre le documentaire et le film d'horreur. De Mondo cane (1962) à Cannibal holocaust (1980), plus de vingt ans d'images-choc, de polémiques, de scandales. Un cinéma du XX e siècle, inconnu, mystérieux. Ici, les explorateurs se perdent dans la jungle, fusils et caméras aux poings. Ici, le monde entier est un spectacle et la vie et la mort sont authentiques. Authentiques, vraiment ? Où se termine la réalité et où commence la fiction ? De l'Italie à la France, en passant par les États-Unis, une fascinante cinématographie parallèle, véritable panorama de l'étrange. De L'Amérique insolite jusqu'à La France interdite, de Mondo Hollywood jusqu'à Face à la mort, un voyage aux frontières de l'extrême.
Reviendrez-vous ? Préface de Boyd Rice, journaliste, artiste, musicien et défricheur américain, connu pour avoir écrit les premiers articles d'importance sur les Mondo.