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VICTOR BERARD
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«Vous avez le choix : Ulysse ou le Cyclope. Vous choisissez Ulysse. Au péril de votre vie, après dix années de combats, vous avez pris la ville de Troie. C'est votre surnom : preneur de Troie. Sur le chemin du retour, vous avez perdu nombre de vos compagnons. Les uns, le Cyclope les a engloutis. Les autres se sont noyés. Ils ont mangé les Vaches du Soleil, en dépit de vos recommandations. Ils ont goûté à des fruits étranges qui procuraient l'oubli. Ils ont fait l'expérience de vivre en cochons. Mais vous, Ulysse, vous avez dû lutter.Vous avez percé l'oeil du Cyclope, le fils de Poseidon. Vous n'aviez pas le choix. De là vient l'acharnement de Poseidon à vous nuire. Pauvre Ulysse, incapable de profiter de l'immortalité toute proche que Calypso vous offre sur un plateau en or. Courage, les déesses vous protègent, et la terre n'est plus très loin !Vous aurez bientôt l'âge de Télémaque, celui d'Ulysse, puis celui de Laërte : déjà vous savez que votre vie s'est jouée quelque part entre Troie et Ithaque.»
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Index par René Langumier
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Odyssée Tome 2 ; chants VIII à XV
Homère
- Belles Lettres
- Classiques En Poche
- 19 Octobre 2001
- 9782251799582
"Garde sans cesse Ithaque présente à ton esprit.
Ton but final est d'y parvenir, mais n'écourte pas ton voyage : mieux vaut qu'il dure de longues années, et que tu abordes enfin dans ton île aux jours de ta vieillesse, riche de tout ce que tu as gagné en chemin, sans attendre qu'ithaque t'enrichisse."
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Odyssée Tome 3 ; chants XVI à XXIV
Homère
- Belles Lettres
- Classiques En Poche
- 19 Octobre 2001
- 9782251799599
"Ithaque t'a donné le beau voyage : sans elle, tu ne te serais pas mis en route.
Elle n'a plus rien d'autre à te donner. Même si tu la trouves pauvre, Ithaque ne t'a pas trompé. Sage comme tu l'es devenu à la suite de tant d'expériences, tu as enfin compris ce que signifient les ithaques.".
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L'odyssée Tome 1 ; chants I à VII
Homère
- Belles Lettres
- Classiques En Poche
- 19 Octobre 2001
- 9782251799575
Pour le monde antique, l'épopée d'homère est le texte fondateur, la source de toute culture.
Récit de voyages et conte merveilleux, l'odyssée chante les errances d'ulysse en même temps que l'endurance sublime d'un homme qui, sans cesse, se cache, invente, se transforme, s'adapte pour survivre.
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En 1512, Maître Mathis, dit Grünewald, commence à peindre à la commanderie des Antonins À la même époque, naît dans cette ville alsacienne le fils d'un menuisier dont l'enfance sera illuminée par les images du retable et par l'artiste, au point qu'il voudra devenir peintre. Il sera typographe, mais gardera l'espoir d'apprendre à peindre avec le maître d'Issenheim et rien ne le détournera de sa passion. Ni son métier, qu'il exerce avec talent, ni la soif de connaître et de comprendre les découvertes et les bouleversements du siècle de la Réforme, ni les événements tragiques de la Guerre des Paysans à laquelle il participe, ni les personnalités et les artistes qu'il rencontre, ni les amis qu'il se fera en voyageant. Après des années d'errance et de recherche, il retrouve Maître Mathis à Halle et partage la vie de l'artiste jusqu'à sa mort. Beaucoup plus tard, devenu imprimeur à Amsterdam, et un peintre médiocre, il décide d'écrire ses mémoires afin de témoigner pour le peintre tombé dans l'oubli à la fin du XVIè siècle...