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Bastberg
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Au début des années 2000, Paul Soyotte, agent de recouvrement, travaille dans une trésorerie générale. Il entretient de mauvais rapports avec son père (dit le Father). Traité en particulier de nul par son géniteur, le jeune homme ne s'aime pas et porte sur son entourage et lui-même des jugements sans concession. Un jour, une rencontre va bouleverser sa vie.
Plus tard, il deviendra agent d'enquêtes privé et fondera, avec Françoise Poisson et Pierre Singlard, la célèbre agence de détectives privés PS2 de Strasbourg. Plusieurs enquêtes de PS2 ont donné lieu à des polars parus aux Éditions du Bastberg. -
Une comptine enfantine bien innocente qui revient tel un leitmotiv, tout au long du roman...
Une souris verte... comme une signature que dépose l'assassin sur le corps de ses victimes... Quel point commun peut-il y avoir entre un restaurateur de Fréjus abattu devant la gare de Metz, un avocat alsacien tué en plein palais de justice de Strasbourg, le directeur Départemental des archives de la Moselle descendu sur son lieu de travail, des magistrats lorrains froidement abattus à Metz ou Genève ?
La réponse ne viendra qu'après une patiente enquête de l'ex-commisaire principal Françoise Poisson, devenue agent d'enquêtes privées.
Et derrière l'intrigue, des questions.
En particulier, quelles peuvent être les conséquences du non-dit familial, tant sur le plan individuel que collectif ? -
Si vous pouviez écrire vos rêves, que raconteraient-ils ?
Après des années de recherche, un laboratoire met au point une technologie permettant de choisir ses propres rêves avant de s'endormir. Pour Paul, ce progrès est l'occasion de s'évader d'un quotidien devenu terne et d'échapper aux fantômes du passé. Pourtant, lorsque la technologie lui échappe et que les rêves commencent à virer aux cauchemars, Paul se voit contraint d'explorer son inconscient et d'enquêter sur son passé. Qui est cette ombre qui surgit dans ses songes sans qu'on l'invoque ? Quels secrets se cachent derrière les rêves sur-mesure ? On ne franchit pas la frontière qui sépare le rêve de la réalité sans en payer le prix. -
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Après le week-end de Pâques, les travaux recommencent sur le chantier de la rue Schacheneck, en bordure du Rhin Tortu. Mais un des ouvriers manque à l'appel.Lorsque son cadavre est découvert, il paraît évident que le pauvre garçon a subi des violences extrêmes. Une enquête est ouverte immédiatement. La capitaine Clotilda Weggewer et le lieutenant Patrice Gentoise interrogent les ouvriers et les habitants des trois petits immeubles qui doivent être résidentialisés. Cela ne fait l'affaire de personne, car les travaux prennent du retard et les locataires sont perturbés dans leur vie quotidienne. Qui a pu s'en prendre à l'ouvrier ? Pour quelle raison ? La capitaine découvre que les relations entre les futurs résidentialisés et leur bailleur ne sont pas au beau fixe. Elle met au jour des pratiques condamnables par le code du travail. De vieilles supersitions émergent. Des travailleurs sans papiers sont mis en cause. Qui, parmi tous ces gens, pouvait en vouloir à l'ouvrier disparu ? C'est ce que devra élucider la capitaine au terme d'une enquête qui la conduira du Rhin Tortu au centre de Rétention de Geispolsheim, et des arcanes du BTP aux «cercles du silence» de la place Kléber.
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Alerte enlèvement Élodie, 9 ans, disparue le mardi 8 novembre N'intervenez pas vous-même, appelez la police Les recherches entreprises durèrent tout la nuit. Mais, à l'aube, il fallut se rendre à l'évidence : malgré tous les moyens mis en oeuvre, la petite Élodie et le jeune homme qu'on avait aperçu en sa compagnie s'étaient évaporés dans la nature, et nul n'était en mesurer d'en retrouver la moindre trace...
Et pourtant ce sera la tâche de la capitaine Clotilda Weggewer. Après avoir appris qui a kidnappé la fillette, comment il l'a kidnappée et pourquoi, il ne lui restera plus qu'à découvrir où elle est séquestrée, sachant qu'elle ne peut survivre au-delà d'un certain temps dans sa captivité. Et c'est alors que des obstacles insurmontables vont surgir sur sa route... tandis que le compte à rebours s'égrènera impitoyablement.
Où est cachée la petite fille ? Sera-t-elle retrouvée à temps ?
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La combine qu'Alex, Serge et moi avions imaginée devait me valoir une gloire bien méritée. Elle allait nous enrichir et nous permettre de réaliser nos projets les plus fous.
On avait tout pour réussir, mais hélas la situation m'a vite échappé. La mort s'en est mêlée et s'est mise à jouer sa sinistre partition, m'entraînant dans une folle spirale destructrice.
Maudites étoiles !
Ne tutoie pas le ciel qui veut ! -
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Pourquoi gutenberg a-t-il quitté strasbourg pour imprimer sa bible de 42 lignes à mayence ? qu'a-t-il fait entre 1445 et 1448 ?
Autant de questions que les biographes se posent et auxquelles ils ne répondent le plus souvent que par des conjectures.
Conjectures qui laissent le champ libre au romancier. ce roman historique propose par conséquent des réponses puisées dans l'imaginaire, mêlant des personnages fictifs à des personnages ayant existé, mais tout en s'appuyant sur des faits ou des hypothèses voire des présomptions formulées par des historiens.
Gutenberg a-t-il été approché par les hussites (partisans de jean hus, le réformateur brûlé vif à prague) ? l'auteur répond par l'affirmative d'autant plus qu'un " évêque " hussite, à la tête d'un réseau occulte, a en effet été brûlé à strasbourg par l'inquisition.
Et c'était la dernière fois qu'un bûcher a été dressé dans la cité rhénane.
Gutenberg, revenant d'avignon où il a rencontré un orfèvre pragois, réfugié en france, découvre que son fidèle serviteur a disparu. le mayençais de strasbourg est pris dans une tourmente alimentée par les hussites, qui attendent avec impatience que ses recherches aboutissent, la haine meurtrière des copistes, qui voient en gutenberg un dangereux concurrent et l'inquisition, qui s'allie aux copistes et combat fanatiquement les disciples de jean hus par la même occasion.
Le récit, tout en décrivant le strasbourg du xve sicle, se lit dès lors comme un thriller et surtout comme un roman historique d'action dans la lignée des dumas, féval ou zévaco.
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Marie veut réintégrer la maison familiale du Cap Ferret où, vingt ans plus tôt, elle a assisté avec sa soeur Mathilde à la noyade de leur frère âgé de 10 ans. La maison est inhabitée depuis longtemps et les fantômes du passé sont encore palpables. Un matin, elle découvre une valise noire enfoncée dans le sable contenant un corps sans tête. Une bague brille à l'auriculaire : celle de sa soeur Mathilde. Marie rentre à Bordeaux et entreprend une enquête où elle se sent d'autant plus impliquée qu'approche la date anniversaire de la disparition de son frère.
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qui a tué jean-bemard hartemann, secrétaire général despotique ? la haine que lui vouent ses subordonnés en font des meurtriers potentiels.
le coupable présumé et désigné par ses collègues complices se dérobe. il nie en effet avec la dernière des énergies : ce n'est pas lui qui a versé du cyanure dans le pastis du tyran. dans les bureaux de la mutuelle anonyme de haute-alsace, sise à mulhouse, la bonne entente qui semblait régner avant la mort de jbh se liquéfie et tout le monde soupçonne tout le monde. ce roman oú le suspense ne fléchit pas est hanté par ce leitmotiv : la victime est un assassin et l'assassin est une victime.
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Dans les années 90, Strasbourg connaît ses premières fins d'années "tout feu, tout flamme" : Quelques dizaines de bagnoles crament pour le plaisir, tandis que moi, je ne trouve pas mieux que de me faire brûler la cervelle par un sinistre tueur que je ne connais pas.
Pourquoi ? Mystère ! Moi qui croyais naïvement ne pas avoir d'ennemis ! Bref, me voici feu... et froid mais hors de question de laisser le trio de "strumpfs" de la section de recherches de la gendarmerie se dépatouiller seul pour élucider mon assassinat. D'ailleurs, va falloir que je les tarabuste car vu leur allant, on n'est pas rendu ! Faut dire que j'exècre tout ce qui représente cette corporation.
Quant à ma métamorphose, une histoire peu banale, me direz-vous... Détrompez-vous !
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